Vendredi 27 mai 2016 - Sous la direction de Stephanie Baumann
Pour ce premier jour, nous partons avec le beau temps vers le nord et le Gers retrouver Stephanie et Rudy Baumann sur leur propriété de Traversères, petit village situé au milieu des prairies et des bocages. C’est Stephanie qui nous guidera toute la journée sur sa propriété de 70 ha dont elle connaît la moindre orchidée, particulièrement sur les prairies de fauche et les lisières. Quelques botanistes locaux nous accompagnent.
Le matin, direction l’est, et tout de suite la prairie s’anime : outre les centaines d’Anacamptis pyramidalis, les très nombreux Serapias vomeracea, et nombreux O. apifera et scolopax, c’est surtout les premiers Ophrys truncata (= O. aegirtica) en début de floraisons qui sont au centre des conversations. Nous pouvons ainsi vérifier qu’ils n’ont pas grand chose de commun avec nos Ophrys tardifs du mont des Oiseaux. De nombreux pieds sont manifestement des hybrides entre apifera et scolopax (O. x minuticauda), et nous repérons un hybride entre scolopax et truncata.
Plus loin, juste après les nombreux Himantoglossum hircinum, Stephanie nous présente un unique pied de la forme leucantha de S. vomeracea, et nous rencontrons ensuite quelques Orchis militaris et Limodorum abortivum fanés. Par contre, dans le petit bois de la crête, les Platanthera chlorantha et les Dactylorhiza fuchsii sont encore très potables, et nous découvrons enfin sur un petit chemin un bel hybride entre apifera et truncata (O. x insidiosa).
La propriété est tellement étendue (2 km !) qu’elle déborde même sur la commune voisine, Lartigue. Là, dans une clairière, outre quelques espèces déjà observées (dont O. truncata), et d’autres plus communes comme O. insectifera en fin de floraison (dont un exemplaire comptant 17 fleurs !), ainsi que O. arachnitiformis et Orchis purpurea en fruit, nous avons le plaisir de pouvoir photographier un hybride entre truncata et insectifera, une vraie rareté.
Pour le midi, Stephanie et Rudy ont dressé une table en notre honneur, et nous prenons notre pique-nique sous les arbres et parmi les orchidées en fleurs. Nous ne les remercierons jamais assez pour leur accueil formidable.
L’après-midi, c’est la partie ouest de la propriété que nous visitons, toujours accompagnés par Stephanie. Tout de suite au-dessus de la maison, c’est une prairie parsemée de milliers d’orchidées de toutes espèces qui nous attend. Les plus nombreuses (Anacamptis pyramidalis dont hypochromes et f. albiflora, Serapias vomeracea, Orchis purpurea) côtoient les plus rares (Himantoglossum hircinum, Orchis militaris, O. simia) et même un exemplaire unique d’ Orchis anthropophora.
Près des lisières et dans les sous-bois clairs, on trouve plutôt Dactylorhiza fuchsii, Ophrys apifera, insectifera et scolopax, Platanthera chlorantha. En contrebas, une belle station propose une trentaine d’Ophrys truncata en boutons ou en début de floraison.
De l’autre côté du chemin, c’est un hybride assez rare qui est en fin de floraison, voire fané : Ophrys x nelsonii, l’hybride entre insectifera et scolopax. Plus loin, quelques Anacamptis fragrans commencent à fleurir, alors que l’unique pied trouvé d’Anacamptis laxiflora finit sa floraison. Le retour permet d’observer encore quelques O. truncata, et des Limodorum abortivum en fruits.
Enfin, grâce à Danièle, nous avons pu déterminer quelques plantes comme : Asplenium scolopendrium (dans le puits), Rhinanthus angustifolius, Orobanche gracilis, Melampyrum cristatum, Ranunculus arvensis (dans champ de fèves), Geranium dissectum et G. columbinum, Genista tinctoria, Jacobea vulgaris, Linum catharticum, Ononis fruticosa, Globularia bisnagarica, et le beau Carthamus mitissimus.
Après avoir encore une fois remercié Stephanie et Rudy, nous terminons la journée en visitant le joli village de Simorre, avec son église restaurée par Viollet-le-Duc, et qui a donné son nom à un bel hybride peu courant. Mais n’anticipons pas.
Samedi 28 mai 2016 - Sur les conseils de Gérard Joseph
Pour ce deuxième jour, toujours du beau temps et direction les Pyrénées et la vallée de Luchon pour découvrir quelques stations que nous a signalé Gérard Joseph, le cartographe SFO de la Haute-Garonne.
Premier arrêt dans un virage de la montée vers Superbagnères, vers 1500 m d’altitude, où nous nous apercevons que la saison des orchidées n’est pas très avancée : nous ne trouvons que quelques Orchis mascula à mettre devant l’objectif. Par contre la flore vernale pyrénéenne est au rendez-vous, avec de nombreuse nouveauté pour beaucoup d’entre nous : Viola pyrenaica, Viola cornuta, Gentiana acaulis et G. verna, Tractema umbellata (= Scilla umbellata), Cardamine pratensis, Pinguicula grandiflora, Caltha palustris, Pedicularis sylvatica…
Un peu plus haut près d’un parking, dans les pentes et en lisière de bois, encore des Orchis mascula, mais surtout une magnifique plante pyrénéenne encore en fleur, Fritillaria pyrenaica. Autres plantes présentes : Veronica serpyllifolia, Helleborus viridis, , Ribes petraeum, Globularia nudicaulis, Narcissus poeticus, Euphorbia hyberna…
Nous poussons jusqu’à la station vers 1800 m d’altitude, avec raison car cela nous a permis de découvrir des champs d’une magnifique jonquille inconnue chez nous, Narcissus bicolor, ainsi qu’avec surprise de nombreux pieds d’Erythronium dens-canis encore bien fleuris. Autre découverte, quelques pieds de Ranunculus amplexicaulis en mélange avec R. pyrenaeus, ainsi que Anemone nemorosa, , Rhododendron ferrugineum et Trifolium alpinum.
Nous penons la direction de l’Hospice de France pour pique-niquer à l’abri du vent, ce qui ne nous empêche pas de nous arrêter en chemin pour admirer quelques Dactylorhiza fuchsii, et surtout le beau géranium pyrénéen, Geranium phaeum.
Après notre repas, nous arpentons les alpages voisins de l’Hospice de France, à une altitude comprise entre 1200 et 1400 m, pour découvrir quelques Dactylorhiza alpestris et de rares D. sambucina, et toujours des Orchis mascula. Dans les zones humides par contre, ce sont des centaines de Dactylorhiza majalis qui débutent leur floraison, dont quelques hypochromes.
La flore est très variée, et toujours grâce à Danièle, nous observons dans les pelouses : Vicia pyrenaica, Descurainia tanacetifolia subsp. suffruticosa (= Hugueninia), Nardus stricta, Coincya monensis subsp. cheiranthos. Sous les hêtres : Oxalis acetosella, Saxifraga pubescens. Le long des petits ruisseaux : Primula farinosa, Pinguicula grandiflora, Viola palustris. Dans les mégaphorbiaies : Cardamine raphanifolia, Valeriana pyrenaica. Et le long du chemin, des Prunus padus en pleine floraison : si la fleur sent très bon, son écorce dégage une odeur assez forte qui lui a valu le nom de Bois-puant…
Nous finissons la journée en visitant le village romain et médiéval de Saint-Bertrand-de-Comminges, surmontée par la masse imposante de la cathédrale Ste-Marie (dont le cloître enchanteur propose une vue apaisante sur les Pyrénées). Au pied de la cité, d’importantes ruines romaines abritent une petite station de la délicate Chaenorrhinum origanifolium. La journée se termine à Saint-Gaudens avec un terrible orage de grêle qui laissera quelques légers stigmates sur les véhicules garés à l’extérieur. Cela annonce-t-il un changement radical de temps ?
Dimanche 29 mai 2016 - Sous la direction de Claire Lemouzy, cartographe SFO du Gers
Le temps est plus incertain le dimanche matin quand nous reprenons la direction du nord pour retrouver Claire Lemouzy, la cartographe SFO du Gers qui a bien voulu nous guider pour cette deuxième journée dans le Gers. Au point de rendez-vous fixé à l’Isle-de-Noé, c’est un groupe bien fourni qui nous attend, avec de nombreux membres de l’Association Botanique Gersoise (dont Hervé, son président), ainsi que Lisa et Jean-Luc qui nous avons le plaisir de rencontrer. Direction la commune voisine de Montesquiou, où Claire a décidé de nous faire découvrir un site Natura 2000 extrêmement riche en orchidées.
Le matin nous arpentons le coteau surplombant la retenue collinaire du Lizet, avec un temps plutôt à la pluie malheureusement. Ce coteau subit des influences méditerranéennes qui lui donne sa spécificité et surtout sa flore à orchidées d’une richesse inégalée dans la région : plus d’une trentaine d’espèces différentes s’y épanouit, dont nous verrons une large palette : Anacamptis fragrans, A. pyramidalis, Dactylorhiza fuchsii, Gymnadenia conopsea, Himantoglossum hircinum, Ophrys apifera, insectifera, scolopax, Orchis anthropophora, militaris, purpurea, Platanthera chlorantha, Serapias lingua et vomeracea. On observera même un hybride entre militaris et purpurea en fin de floraison. Cette station comme les autres est entretenue par le passage régulier de bovins en élevage extensif, ce qui permet le maintien d’un milieu ouvert favorable aux orchidées et à d’autres plantes méditerranéennes.
La flore est également très variée : Euphorbia flavicoma subsp. verrucosa, Carthamus mitissimus très abondant dont 1 blanc, Linum tenuifolium, L. bienne, L. campanulatum, L. catharticum, Erica vagans, Briza media, Sorbus torminalis, Genista scorpius, Helianthemum nummularium, Danthonia decumbens, Molinia arundinacea.
Vers midi le temps s’améliore et nous pouvons tranquillement déjeuner au bord du lac, sous le soleil retrouvé.
L’après-midi, Claire nous guide a travers des prairies de fauche, milieu particulièrement riche en orchidées comme nous avons pu le voir avec Stephanie. Tout de suite, un petit coteau abrite de nombreux Anacamptis pyramidalis, Himantoglossum hircinum, Serapias vomeracea et quelques Orchis purpurea. Plus loin ce nous les très beaux et odorants Anacamptis fragrans qui commencent à s’épanouir, accompagnés par de magnifiques Ophrys apifera, dont certains à sépales blanc pur, ainsi que de quelques Ophrys scolopax et Orchis militaris, et 1 ou 2 Serapias lingua, tous les 3 en fin de floraison. Un unique Dactylorhiza fuchsii fleurit à l’abri d’une haie, non loin d’un Gymnadenia conopsea.
Nous continuons de progresser dans ces grandes prairies, et nous rencontrons une petite population d’Orchis anthropophora, ainsi que les premiers Ophrys truncata, en tout début de floraison près de la lisière. Mais c’est une petite prairie en pente qui va nous régaler : en bas, près de ses 2 parents, nous découvrons un hybride entre Serapias vomeracea et lingua (S. x intermedia), puis tout à côté, 2 O. apifera de la forme trollii. Plus haut, c’est le tour des hybrides d’Ophrys : une demi-douzaine d’O. x minuticauda (O. scolopax x apifera), et d’un exemplaire d’un hybride entre Ophrys scolopax et truncata. Enfin près de la lisière, un autre Ophrys apifera de la forme trollii. Quelle belle prairie !
Changement de décor de l’autre côté de la butte : ici les genêts scorpion commencent à prendre le dessus (ils portent bien leur nom, en témoignent les égratignures reçues en les côtoyant…). Malgré tout, la pente abrite de nombreux Ophrys truncata, de beaux O. scolopax dont un lusus à 2 labelles et un autre hybride entre Ophrys scolopax et truncata. Mais c’est Annie qui découvre la plus belle plante de la journée : un unique exemplaire du rare hybride entre Anacamptis pyramidalis et fragrans, en pleine floraison, bien caché dans les genêts. Et cet hybride porte le nom du village que nous avons visité il y a 2 jours et qui ne se trouve pas bien loin, Simorre : trouver Anacamptis x simorrensis à côté de Simorre, voilà une belle conclusion pour cette journée !
Malgré tout, elle n’est pas complètement fini, car le retour aux voitures sera parsemé de multiples orchidées, dont Ophrys aranifera et insectifera malheureusement défleuris, au contraire d’une dizaine d’Ophrys apifera de la forme aurita (pétales longs et verts), et de quelques O. scolopax dont certains assez spectaculaires. Concernant la flore, Danièle a noté : Filipendula vulgaris, Xeranthemum inapertum, Centaurea jacea et nigra, Euphorbia exigua, Trifolium dubium, Brachypodium rupestre, Ononis spinosa, et Althaea hirsuta.
Nous terminons la journée par la visite du petit village-bastide de Bassoues, dominé par son donjon de 43 m, et dont la vieille halle en bois bordée de maisons à colombage est assez remarquable.
Lundi 30 mai 2016 - Sous la direction de Gérard Joseph, cartographe SFO de la Haute-Garonne
Pour le dernier jour, la météo ne s ‘annonce pas bonne. Malgré tout, nous retrouvons Gérard à la gare (désaffectée) de Luchon sous un ciel voilé avec quelques promesses d’éclaircies. Nous prenons la direction d’un petit village non loin de là, Saccouvielle, accroché à la montagne.
Nous parcourons une grande prairie pâturée très pentue, vers 1100 - 1200 m d’altitude environ. Les Anacamptis pyramidalis commencent leur floraison, nous sommes en altitude. Cela nous permettra de voir de nombreuses espèces en fleur : Ophrys insectifera, O. scolopax, et même une dernière fleur correct d’Ophrys aranifera. Quelques Orchis mascula terminent leur floraison, mais c’est n’est pas lui que nous cherchons. Par contre, Cephalanthera damasonium, Epipactis helleborine et Gymnadenia conopsea ne sont pas encore fleuris, contrairement aux Orchis anthropophora.
Enfin, plus haut vers les fougères, les premiers Orchis langei sont trouvés en fleur, c’est pour lui que nous sommes là. On en observera plusieurs centaines disséminés dans toute la pente, avec au moins un hybride avec O. mascula, pas toujours très facile à confirmer du fait de la proximité des 2 espèces : O. langei est plus clair, laxiflore, et possède un labelle très genouillé.
Sur le talus d’un chemin, en revenant vers la route, nous pouvons observer un bel Ophrys scolopax de la forme chlorantha, des O. apifera dont un de la forme curviflora, quelques O. scolopax avec des sépales verts, une touffe de Cephalanthera longifolia et un unique pied de Neottia ovata. Anacamptis fragrans est en début de floraison dans un pré en dessous, alors que Orchis simia finit la sienne.
Flore : Euphrasia alpina, Astragalus monspessulanus, Myosotis arvensis, Geranium sanguineum, Teucrium pyrenaicum, Genista sagittalis, Gentiana verna, Cervaria rivini, Globularia nudicaulis, Erinus alpinus, Erica vagans.
En redescendant vers Luchon, nous nous arrêtons un instant au bord de la route, attirés par les spectaculaires Papaver cambricum (= Meconopsis cambricum) jaunes qui parsèment le talus. On observe aussi : Geranium phaeum, Symphitum officinale, Silene dioica. Campanula patula.
Dernier arrêt avant le repas vers Trébons-de-Luchon, à 800 m d’altitude, où le fossé et les parois humides abritent une belle population du spectaculaire Dactylorhiza elata subsp. sesquipedalis, en tout début de floraison, ainsi que la flore suivante : Trifolium ochroleucon, Pinguicula grandiflora, Aquilegia pyrenaica, Phyteuma orbiculare, Tofieldia calyculata, Ulmus montanus.
La pluie commence à tomber, et après le repas pris à l’abri sous la verrière de la gare de Luchon, nous prenons la direction du Col de Menté, au-dessus de Boutx. La montée parmi les champs d’Asphodelus albus est assez spectaculaire, mais à l’arrivée l’orage redouble d’intensité. Quelques courageux partent à la recherche de Corallorhiza trifida sous la conduite de Gérard. Malheureusement la station a été détruite par l’exploitation forestière, et nous n’observons que quelques Lathraea clandestina, curieuse espèce parasite inconnue en PACA.
Abandonnant la partie devant la furie des éléments, nous nous réfugions dans un sympathique bar d’altitude pour nous sécher et nous réchauffer. La journée se termine autour du pot de l’amitié.
C’est ainsi que s’achève ce séjour qui nous aura permis d’observer 30 espèces d’orchidées, quelques formes particulières et 9 hybrides dont certains non encore décrits, ainsi que de découvrir 2 régions magnifiques et hospitalières.
Espèces rencontrées
38 taxons (= nombre de stations) : 30 espèces, 8 formes et variétés
Anacamptis fragrans = 4
Anacamptis fragrans f. albiflora = 1
Anacamptis laxiflora = 1
Anacamptis pyramidalis = 6
Anacamptis pyramidalis f. albiflora = 1
Cephalanthera damasonium = 1
Cephalanthera longifolia = 2
Dactylorhiza alpestris = 1
Dactylorhiza elata subsp. sesquipedalis = 1
Dactylorhiza fuchsii = 5
Dactylorhiza majalis = 1
Dactylorhiza sambucina = 1
Epipactis helleborine = 1
Gymnadenia conopsea = 3
Himantoglossum hircinum = 4
Limodorum abortivum = 3
Neottia ovata = 1
Ophrys apifera = 6
Ophrys apifera f. aurita = 1
Ophrys apifera f. curviflora = 1
Ophrys apifera f. trollii = 1
Ophrys arachnitiformis = 2
Ophrys aranifera = 2
Ophrys insectifera = 5
Ophrys scolopax = 5 (dont sépales verts)
Ophrys scolopax f. chlorantha = 1
Ophrys truncata = 4
Orchis anthropophora = 4
Orchis langei = 1
Orchis mascula = 5
Orchis militaris = 5
Orchis militaris f. albiflora = 1
Orchis purpurea = 4
Orchis simia = 2
Platanthera chlorantha = 4
Serapias lingua = 2
Serapias vomeracea = 5
Serapias vomeracea f. leucantha = 1
9 hybrides (= nombre de stations)
X Anacamptis pyramidalis X fragrans (A. x simorrensis) = 1
X Ophrys apifera X truncata (O. x insidiosa) = 1
X Ophrys apifera X scolopax (O. x minuticauda) = 2
X Ophrys insectifera X scolopax (O. x nelsonii) = 1
X Ophrys scolopax X truncata = 2
X Ophrys insectifera X truncata = 1
X Orchis langei X mascula = 1
X Orchis militaris X purpurea (O. x hybrida) = 1
X Serapias lingua X vomeracea (S. x intermedia) = 1
Remerciements.
La SFO PACA remercie tout particulièrement nos accompagnateurs locaux sans qui nous n’aurions pas pu observer toutes ces espèces, et qui se sont donné sans compter pour rendre notre séjour agréable : Stephanie Baumann, Claire Lemouzy et Gérard Joseph. Nous remercions également la direction de l’Hôtel Pedussaut à Saint-Gaudens qui a répondu à toutes nos attentes.
Participants SFO PACA (sauf mention contraire)
BLAIS Hélène et Pierre-Michel, CARRÉ Michèle (SFO LR), CARTIER Jean-Paul (SFO LA), HEYMES Jean-Marc, GUÉGAN Jean-Pierre, DURAND Régine et Yves, HAMARD Danièle et Michel, LEREY Marie-Claude, et François, PINAUD Annie et Michel, PONCET Michèle et Fernand, RAIBAUD Diane et Jean-Louis, ROLLAND Monique & Robin.
Invités (hors accompagnateurs)
Le 27 mai : Bruno FAFFÉ de Pau (Erebus), ainsi que des botanistes gersois et tarbais.
Le 28 mai : Jean-Antoine ARAQUE (Vice-Président), Hervé BELLAT (Président), Elisabeth GRUYS, Jean-Michel PEDECHES, Pierre SCHEERCOUSSE, Jérôme SEGONDS, Laurie VASSELIN (gestionnaire du site), de l’Association Botanique Gersoise, Lisa et Jean-Luc.